Ça avance pas mal. Je suis maintenant à 58621 vertices, ce qui est beaucoup plus raisonnable que la version précédente (merci les sièges tout carrés). La capture utilise 4 textures 512×512 pour les lightmaps (ca doit faire en gros 4.5 Mo dans la mémoire de la carte). Je vais peut être pousser un peu les détails dans la salle en ajoutant quelques portes, lampes, à voir. Je suis un peu contrarié par la tache de lumière sur l’écran, que j’ai du mal à comprendre. Anyway, le calcul de radiosité à raison. point. Faut "juste" que je trouve comment coutourner cette concentration entre la luminosité de l’écran et le "reflet" créé sur le sol devant l’écran.
Et après, je passe au coeur du bidule (Dans le dernier article, un esprit fort a deviné le but de la création de ce modèle :).
Pour le reste, j’ai déjà perdu un sacré paquet d’heures sur Toca Race Driver 2 PSP :
Première impression : les décors sont inégaux, et virent même au laid parfois. Diantre. Sauf que dès que le départ est donné, on découvre ce qui fait Toca : les caisses. Elles sont toutes là, superbement modélisés (tu m’étonnes qu’il reste plus de polygones pour les décors), avec la même physique que la version PC. J’ai retrouvé mon circuit préféré et avec la Seat, et ça passe exactement comme dans les autres Toca. Joie. Résultat, 32% du mode carrière torché en 2 jours. On retrouve très vite ses marques, l’habillage du jeu est identique à la version PC, les cinématiques aussi, bref… je vais enfin pouvoir finir un Toca, merci l’aspect portable.
Sinon, le jeu respecte les directives de Sony : parties plus courtes (moins de tours), mode réseau (12 joueurs FFS !) et le bonus qui déchire : la possibilité de mettre sa propre bande son (fichiers wav Atrac3 dans le répertoire du jeu).
Après ma partie de deux heures dans le train hier, je vous laisse, je me fais conduire par ma copine à 1h30 d’ici, de quoi terminer une saison. Gniark.
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